-Démystification précédente : les preuves scientifiques que le magnétisme fonctionne–
Il n’y a qu’une seule médecine : celle qui se voue à guérir et entretenir la santé d’une personne. Vous verrez probablement des groupes opposer la médecine « traditionnelle » et la médecine « douce ». Ce terme sous-entend qu’il existe une médecine « dure ». Tout au long de la formation à venir nous nous attacherons à parler de médecine alternative, complémentaire d’une médecine traditionnelle reconnue.
Le but manifeste est de réconcilier ces domaines. Vous pouvez lancer un débat sur l’utilité de vaccins, les grands groupes pharmaceutiques, ou le manque de reconnaissance des thérapies alternatives, c’est inutile. Parce que quand vous êtes malade, vous êtes amené à vous fragiliser si vous n’avez pas de solutions efficaces et immédiates, et vous êtes amené à éprouver une sensation étrange : le désespoir. Dès lors, une seule chose prend de l’importance : retrouver la santé, guérir, aller mieux.
Notre système favorise une médecine qui utilise des médicaments. Vous pouvez penser que c’est pour nourrir la conspiration mondiale, le principe est le même que pour la cigarette par exemple : il suffit de ne pas en acheter pour ne pas en faire partie (et d’éviter de juger ceux qui en prennent). L’être humain agit parce qu’il pense agir correctement. A l’avenir, dans cette futur formation que je mets en place, nous n’opposerons jamais les médecines.
« Ce n’est pas de la médecine! ». Très bien, appelez ça comme vous voulez, l’essentiel est que ça fournisse une aide palpable à quelqu’un. Si cette personne dit « je souffre », puis « je vais bien », peu importe qu’il s’agisse d’une aspirine, d’une séance de magnétisme ou même d’un placebo. Pourvu que vous ayez le bon sens de votre côté et que votre pratique ne mette pas en danger un individu.
Petite anecdote personnelle :
Quand j’étais gamin, mon frère avait un mal de ventre insupportable et ma grand-mère était très portée magnétiseurs, guérisseurs, devins etc… Elle s’est acharnée à amener mon frère chez eux car « les médecins sont tous des escrocs au service des grands groupes pharmaceutiques ». On l’a finalement amené chez notre médecin traitant qui a décelé une crise d’appendicite aiguë. A deux jours près, l’appendicite explosait provoquant une hémorragie interne. Il a été opéré en urgence et s’en est très bien sortit. Voilà ce qu’on appelle du bon sens. D’autant plus que notre médecin de famille était un homme dévoué à ses patients et d’une éthique irréprochable.
Dans le temps, les médecins étaient les bouchers, et les barbiers (les seuls à posséder des objets coupants de par leur profession). Le progrès technologique a permis entre autres le développement d’antibiotiques, de pénicilline, de greffes d’organes, etc… Evidemment, il suffit de suivre l’actualité pour se rendre compte qu’un consensus scientifique n’existe pas pour des maladies qui débarquent sans prévenir. Vous trouverez aussi quelques scandales comme celui du Mediator. De même que vous trouverez des types qui veulent soigner des pathologies graves à coup de jus de carotte et de betteraves et l’aide de guides de lumières. Je ne renie ni leur existence, ni leur efficacité, mais souvent, à mon (bon?) sens, la médecine traditionnelle fonctionne mieux pour celui qui ne veut pas consacrer du temps à cette pratique ou qui la découvre à peine.
Le meilleur moyen de favoriser toutes les médecines; « traditionnelles » et « alternatives » est de prendre à chaque fois ce qu’il y a de mieux et de les concilier. J’ai eu l’occasion par ma pratique de « couper le feu » à des personnes sous chimiothérapie ou radiothérapie. Les effets secondaires étaient moindre. C’est un exemple simple des médecines qui se rencontrent. Parce que le lien très fort qui existe entre un médecin qui a étudié dix ans, parfois plus, et un thérapeute alternatif (magnétisme, shiatsu, reïki etc…) qui s’est déclaré après une pratique empirique, c’est l’éthique!
Un médecin qui considère ces patients comme des clients et un guérisseur qui profite de la faiblesse psychique et physique de ces clients pour les abuser ont un point commun, une éthique douteuse qui mets la médecine traditionnelle ou alternative de côté. A l’inverse, un médecin attaché à ses patients qui sait reconnaître sa limite (« je ne sais pas ce que vous avez ») et un thérapeute qui va aider (« prenez vos médicaments, je ne suis pas médecin. Je peux juste vous soulager ») ont une éthique qui placent le bien-être de l’être humain en priorité. Chacun fait à chaque fois ce qu’il a appris et de bonne foi.
Dans les méthodes de magnétisme que je souhaite partager, l’éthique est certainement le facteur le plus important, devant votre condition physique et votre routine. Partant du principe que l’intention est se mélange de pensée et d’émotion qui permet de fournir une information aux cellules, il vaut mieux éviter de l’entacher avec une morale douteuse. Pointer du doigt une médecine que vous jugez dure, et que vous accablez en vantant les mérites d’une médecine douce, rend vos intentions fumeuses. Le résultat et le libre arbitre sont des éléments très fiables pour juger d’une pratique, et elles sont souvent suffisantes.
Considérant que l’on ne peut se passer d’une éthique irréprochable pour émettre des intentions bienveillantes, nous veillerons en permanence à se demander « est-ce juste »? Il n’y pas de réponses universelles. Le simple fait que je fasse payer mes séances de magnétisme est un sujet à débat qui divise souvent dans les commentaires de publicité que je fais. Le but n’est pas de se transformer en saint, ou de concilier tous les avis, mais d’avoir un comportement cohérent. Prôner la paix et l’amour et vilipender avec véhémence une médecine n’est pas cohérent.
A mon humble avis, les médecines traditionnelles et alternatives sont complémentaires et non en opposition. Evidemment, je n’aurai pas grand-chose à dire sur la médecine car je ne suis pas médecin, et je ne peux que parler de ma pratique qui N’EST PAS de la médecine. Elle permets néanmoins certains résultats quand la médecine montre ses limites. C’est ce que je vous propose d’apprendre à partir de septembre.
Dans deux semaines, nous parlerons du coup de cette idée qu’il faut un maître ou un gourou pour apprendre et développer ces capacités. C’est encore une mystification. Pour apprendre, il ne faut pas un élève et un maître. Il faut quelqu’un qui sait, en mesure d’expliquer la chose à quelqu’un qui ne sait pas.
A dans deux semaines,
Bien à vous,
Boris
-démystification suivante : Ni Dieu ni Maître–
Si mon travail vous plaît et que vous souhaitez y contribuer je vous suggère un livre que j’ai écrit. C’est un objet de divertissement plus qu’un guide, et ça m’aide également à me faire vivre ainsi que ce site. J’espère qu’il saura vous divertir et vous fournir une source d’inspiration supplémentaire :
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